Chaque établissement d’enseignement supérieur s’appuie sur la communication pour partager des informations importantes. Malheureusement, la communication efficace est moins courante.
Dans notre monde surchargé d’informations, capter l’attention d’un étudiant pour partager des informations vitales est un défi permanent. Dans un établissement d’enseignement supérieur, vous êtes en concurrence avec la communication personnelle, les médias sociaux et les divertissements en ligne, ainsi qu’avec les communications d’autres départements, clubs, emplois, etc. C’est un espace bruyant qu’il peut être difficile de percer, présentant un défi à multiples facettes lorsqu’il s’agit de communications dans l’enseignement supérieur.
Les étudiants utilisent plusieurs appareils
Entre les ordinateurs portables, les ordinateurs de bureau, les smartphones et les tablettes, les étudiants se connectent et s’engagent en utilisant plusieurs appareils. Entre tous ces appareils, les étudiants reçoivent des communications de plusieurs façons :
- e-mail ;
- message texte ;
- notifications push mobiles ;
- messagerie sur des plateformes comme ient (annonces, alertes, notifications, etc.) ;
- message instantané/Chat ;
- appels téléphoniques et messages vocaux.
Ceci rend la communication globale plus difficile, car les institutions doivent choisir la bonne méthode et le bon support de communication pour chaque message. Vos étudiants sont partout et vous avez besoin d’un moyen de les atteindre là où ils sont, quand vous en avez besoin (surtout pour les messages critiques ou sensibles au facteur temps). Vous ne pouvez pas simplement mettre en place une méthode de communication et espérer que les élèves s’adaptent. Si vous voulez que les messages atteignent les yeux et les oreilles, vous devez les rencontrer selon leurs conditions.
Rester pertinent
Le simple volume de messages que les étudiants reçoivent peut-être écrasant, surtout si vous n’avez pas de stratégie de communication solide à l’échelle de l’établissement. Dans de nombreux cas, vos communications seront ignorées ou feront l’objet d’un retrait ou d’un désabonnement complet. Les étudiants ont l’habitude de définir des préférences de communication personnalisées sur de nombreuses plateformes qu’ils utilisent quotidiennement. Ils n’hésiteront pas à traiter vos communications de la même manière, notamment si vous n’avez pas de stratégie de communication personnalisée.
Bien que la surcommunication soit souvent considérée comme préférable à la sous-communication, il est difficile pour les messages de rester pertinents. Trop de messages désensibilisent les étudiants au point qu’ils cessent complètement d’y prêter attention.
Le courrier électronique ne suffit pas
Pendant longtemps, le courrier électronique a été le saint Graal de la communication. Le moyen infaillible d’atteindre les personnes que vous deviez atteindre. Bien que les étudiants puissent techniquement consulter leurs e-mails sur un ordinateur ou un appareil mobile, utiliser l’e-mail comme principale méthode de communication ne suffit tout simplement pas de nos jours.
Le problème avec l’e-mail est double :
- Les départements ont souvent leur propre système d’e-mail, ce qui entraîne une surcharge d’e-mails pour les étudiants.
- Les étudiants d’aujourd’hui ne consultent pas toujours leurs e-mails.
Les boîtes de réception d’e-mails sont trop inondées pour compter pour les étudiants d’aujourd’hui. Pensez au nombre d’e-mails promotionnels et de messages non pertinents que vous recevez chaque jour. Les messages importants sont plus difficiles à trouver, sauf si vous êtes vraiment dévoué. Si vous comptez sur le courrier électronique pour la communication de l’enseignement supérieur, il est presque certain que des messages importants sont manqués.
Le courrier électronique n’est pas mort, il n’est pas non plus la seule solution. Ayez des moyens de mettre les notifications devant les étudiants à un endroit qu’ils vérifient toutes les heures et non tous les deux jours.